J’ai découvert les histoires de Lilian Jackson Braun il y a une dizaine d’années. Elles mettent toutes en scène un journaliste qui se retrouve confronté à une énigme, aidé par des chats possédant des dons particuliers. Je les ai retrouvées à la bibliothèque et j’ai eu très envie de m’y replonger cet été. « Le chat qui lisait à l’envers » est le premier roman écrit en 1966.
Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de rédacteur artistique est une véritable gageure étant donné qu’il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d’un féroce critique d’art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d’un fin gourmet et l’homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K’o Kung- Koko pour Qwilleran- qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l’envers les manchettes de journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c’est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.
J’ai vraiment apprécié le retour dans cet univers, j’ai passé un bon moment de détente. J’aime beaucoup également les couvertures des différents romans.
Challenge Petit BAC, catégorie Animal Challenge Lilian Jackson Braun, Sharon
Challenge "Un nez dans les livres", George